Philippe est artisan. Son entreprise s’appelle « Abra Ma Cabane ». Il m’en dit quelques mots (0’44). Le thème qu’il a choisi pour voyager dans le temps est celui de la pollution. Philippe m’explique son choix (1’58).
« On a jamais vu une modification climatique aussi violente »
Les artisans s’emparent-ils des enjeux écologiques dans leur façon d’exercer leurs savoir-faire ? (2’35)
Ensemble nous évoquons la pollution de l’air, des océans, problématiques qui tiennent à cœur de Philippe. Pour que son activité soit en phase avec ses valeurs, il trouve des partenaires à la hauteur.
Et en 2050 ? Les entreprises écologiquement éveillées seront-elles la majorité ? (5’21)
« Des progrès, déjà amorcés aujourd’hui »
Pour Philippe, une régulation mondiale est nécessaire. Nous évoquons d’ailleurs la COP21 et son impact… Pour changer les choses, Philippe imagine une dynamique triphasée (7’38) : citoyens, entreprises et Etats.
Demain, les lobbies citoyens auront-ils pris le pas sur les lobbies industriels ? (10’49)
Et si les entreprises n’avaient pas uniquement vocation à vendre mais étaient des lieux d’humanité et de nature ? (11’38) Philippe évoque d’ailleurs ici les oasis selon Hubert Reeves.
« 2050, ça me paraît court… »
Philippe place son optimisme à l’horizon de plusieurs générations. Il faut aller voir encore plus loin (13’36).
Et les villes en 2050, asphyxiées par la pollution atmosphérique ? Sur ce point, Philippe voit des améliorations plus rapides (14’44).
« On va de plus en plus rendre les villes aux piétons ! »
Comme chaque semaine, notre conversation s’achève autour d’un vœu que je propose à Philippe de formuler (19’58).
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